La cuve de mélange permet d'ajouter divers réactifs tels que la soude caustique ou la chaux hydratée. Ces réactifs peuvent également être ajoutés au stade du broyeur à boulets ou dans le réservoir d’agitation, et il n’existe pas de norme fixe ; l'ajustement est basé sur les conditions réelles du minerai.
Au cours du processus de suspension de carbone, les additifs soude caustique ou chaux hydratée peuvent être ajoutés au stade de l'entrée du minerai dans le broyeur à boulets ; le dosage est déterminé en fonction de la consommation de minerai et n'est pas fixe.
La recommandation pour un tas rectangulaire est d'améliorer la perméabilité à l'eau. Pour déterminer si tout le minerai a été entièrement imprégné, de petites barrières peuvent être créées à la surface du tas, semblables à des rizières, et le niveau d'eau dans chaque barrière peut être observé pour évaluer la qualité de la perméation. Dans la première […]
Pour déterminer si un certain type de minerai convient à la cyanuration ou à la flottation et à la resélection, une évaluation visuelle est suivie de diverses expériences ciblées pour obtenir diverses données, déterminant finalement la méthode de traitement optimale grâce à une évaluation complète.
L'ensemble du processus de lixiviation au cyanure pour l'extraction de l'or est le suivant : Le processus au cyanure implique l'utilisation d'un réactif pour réagir avec le minerai, dissolvant l'or du minerai dans la solution réactive. L'or est ensuite adsorbé et remplacé, initialement concentré, puis raffiné par fusion pour obtenir le produit final de l'or […]
Les méthodes d'extraction de l'or au cyanure sont la lixiviation en fosse, la lixiviation en tas et l'adsorption de boues de carbone (CIP ou CIL), qui permettent un mélange minutieux des réactifs et du minerai.
Le « cyanure » dans l’extraction de l’or au cyanure fait référence à la teneur en ions cyanure.
Non ce n'est pas possible. Les grosses particules d'or ne peuvent pas être dissoutes par les réactifs. Il est nécessaire d'utiliser d'abord la séparation par gravité pour récupérer les particules d'or libres avant la cyanuration.
La finesse du minerai est étroitement liée au taux de récupération. La finesse optimale varie pour la lixiviation en piscine, la flottation et la boue carbonée. Le degré d’oxydation et la taille de l’or déterminent également la variation de finesse. En conclusion, différents minerais ont des méthodes de traitement optimales différentes.
L'adsorption du charbon actif ne peut pas être déterminée par le temps ; il ne peut être jugé que sur la base des résultats des analyses. Il n’y a pas de norme de temps spécifique pour ce processus.
Les exigences minimales pour la cyanuration des boues de carbone sont la qualité et le taux de récupération. Il est crucial de mener des expériences pour déterminer la méthode de traitement optimale du minerai.
La hauteur du tas de minerai lors de la lixiviation en tas doit être déterminée en fonction des caractéristiques du minerai, qui peuvent varier considérablement. La pente doit être gérée en conséquence. Il est préférable de choisir un terrain plat pour le tas.
Pour la lixiviation en tas, un simple lavage du charbon actif suffit, ou il suffit d'ajouter une petite quantité d'agent activateur pendant le processus d'adsorption. Il s’agit d’un processus simple qui ne nécessite pas de traitement spécial, ou vous pouvez simplement fournir au client du charbon lavé à l’eau de haute qualité.
La norme pour juger de la qualité du charbon actif repose sur deux facteurs. Premièrement, plus l’indice d’iode est élevé, meilleure est la capacité d’adsorption et plus le charbon actif est fragile, ce qui le rend impropre aux boues de charbon. Deuxièmement, la quantité de résidus après la combustion du charbon actif doit être minime. Le résidu peut […]
Dans le traitement du minerai, le fer n’est ni nocif ni influent. La cooccurrence du fer et de l’or est assez courante et le taux de récupération spécifique dépend des différents types de minerai. Il existe des cas où la teneur en fer est élevée dans le minerai d'oxyde de fer aurifère, mais le taux de récupération est très bon.
La poudre d'eau de Javel peut neutraliser les toxines chimiques.
Le minerai sulfuré est un minerai primaire et peut également subir une cyanuration. Après un broyage fin, il peut être lixivié en cuve ou traité avec du coulis de carbone. Si la finesse n'est pas suffisante, par exemple s'il n'est pas finement broyé, le taux de lixiviation en tas sera très faible.
Pour le traitement séparé de l'argent, une concentration de 50 grammes par tonne ou plus garantit l'utilisation de fil de zinc ou de poudre de zinc pour le remplacement. Lors de la fusion, une température d'au moins 1300 XNUMX degrés Celsius est requise. Les matériaux contenant de l’or et de l’argent peuvent fondre à cette température. Il est important de noter que cette température fait référence […]
La lixiviation en fosse, la lixiviation en tas et la cyanuration peuvent toutes contenir de l'argent. Si la teneur en argent est élevée, le procédé Merrill-Crowe utilisant le remplacement du zinc peut être utilisé pour récupérer l'or et l'argent. Si la teneur en argent est faible, du charbon actif est utilisé.
Il n'existe pas de norme stricte concernant la teneur en soufre qui représente son impact sur le taux de lixiviation. Généralement, une teneur en soufre de 4 à 5 % ou plus est considérée comme relativement élevée, indiquant une préférence pour la flottation. Cependant, de nombreux minéraux à haute teneur en soufre présentent encore de bons taux de lessivage, il n’existe donc pas de critère de distinction strict ; le jugement est généralement basé sur des résultats expérimentaux individuels.
Normalement autour de 100 mesh, et si la perméabilité est bonne, des particules légèrement plus grosses peuvent également être utilisées. La taille des particules du broyeur est généralement de 70 à 80 mesh et peut être ajustée en modifiant le temps de broyage (ou en augmentant le niveau d'eau) pour ajuster la taille des particules, il est recommandé de la maintenir à moins de 100 mesh.
Plus de 90 % des particules doivent passer à travers un tamis de 200 mailles.
Il suffit de tester la solution de lixiviation une ou deux fois par jour. Le suivi de la différence de teneur en or entre les solutions riches et pauvres indique l'adsorption par le charbon actif ; une différence significative suggère une adsorption efficace. La solution de lixiviation doit être testée avec diligence, avec des tests effectués 1 à 2 fois par jour pour le pH, la concentration du réactif et la teneur en or-argent. […]
En fonction du rendement de production et des conditions matérielles. Il est préférable que les dimensions soient rectangulaires, avec l’évacuation idéalement positionnée au milieu de la longueur. La hauteur est déterminée en fonction de la finesse et de la viscosité du minerai.
En théorie, la solution peut circuler indéfiniment. Cependant, dans des cas particuliers où des substances nocives sont présentes dans le minerai, il est conseillé de remplacer régulièrement la solution.
Pour la lixiviation en cuve, une alimentation mécanique ou manuelle avec agitation est nécessaire pour le matériau contenu dans le bassin de lixiviation, puis il doit être aéré.
La consommation d'eau pour la lixiviation en fosse est d'environ 1:10 avec le minerai, tandis que pour la lixiviation en tas, cela dépend de la situation réelle. La consommation consiste principalement en l’évaporation quotidienne et les précipitations. L’excès d’eau récupérée peut être stocké dans des bassins de réserve.
La température doit être au-dessus du point de congélation. Des temps de lixiviation plus longs se produiront à basse température, tandis que des températures élevées entraîneront une consommation accrue de réactifs, ces deux phénomènes présentant des inconvénients.
Une pulvérisation uniforme de la solution de lixiviation et une surveillance continue sont utilisées pour l'évaluation. Le tas est également généralement retourné dans les étapes ultérieures pour assurer une lixiviation uniforme.
Les expériences d'extraction durent généralement 24 à 48 heures. Ces expériences peuvent être utilisées pour déterminer la consommation d’alcalis et de réactifs par tonne de minerai. La période réelle de lixiviation en tas doit être déterminée en fonction du niveau d’oxydation, de la taille des particules et de la taille globale du tas du minerai.
La pulvérisation doit être fréquente, mais intermittente et non continue. Cela ne devrait pas être fait en continu.
Généralement, pour des échantillons de minerai réguliers, 10 kilogrammes ou plus sont requis.
La plage optimale de concentration du réactif se situe généralement entre 0.2 et 7 parties pour mille. Le test du nitrate d’argent est simple et rapide et permet d’ajuster le dosage en fonction des résultats du test. Il est recommandé d’en ajouter une petite quantité à chaque fois et de répéter le processus, plutôt que d’en ajouter une grande quantité tous les […]
En l’absence d’éléments nocifs évidents, la plage de pH appropriée se situe généralement entre 9 et 11. Des valeurs de pH trop élevées sont néfastes et peuvent affecter le taux de lessivage. Des bandelettes de pH ou de petits instruments conviennent pour tester les niveaux de pH.
Une teneur élevée en argile affectera le taux de lixiviation, principalement en affectant la perméabilité et la perméabilité à l'air du tas de minerai. La solution peut passer par l’agglomération, l’utilisation de petits tas, voire par une lixiviation en cuve à grande échelle pour résoudre ce problème.
Pour les minerais avec une bonne oxydation, ils peuvent être directement empilés, tandis que les minerais durs ont généralement un diamètre inférieur à 3 centimètres.
Les principaux éléments qui affectent le taux de lessivage sont l’arsenic, le carbone, le cuivre et les sulfures excessivement élevés. Un excès de fer a également un impact. En fin de compte, cela dépend des données expérimentales ou de l'ajustement des agents auxiliaires pour améliorer l'efficacité.
Les minerais oxydés ou la limonite relativement molle, à l'exception des minerais sulfurés de veines de quartz, pratiquement tous les minéraux aurifères peuvent être lessivés en tas. Pour les minerais d’or présentant une bonne oxydation, ils peuvent être directement empilés pour une lixiviation en tas. Pour les minerais légèrement plus durs, ils doivent être concassés avant la lixiviation en tas.